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Mon meilleur ami s'appelle Déni !

Dernière mise à jour : 21 nov. 2023



Combien de fois j’entends en séance :

👉Dans certaines situations, j’ai besoin de m’isoler sinon j’explose

👉J’ai besoin d’être respecté et d’écouter mes besoins racines

👉C’est compliqué d’être touché

👉J’ai été violé dans mon intimité (en parlant d’une situation anodine…)


Dissociation, oubli, stratégies d’évitement…la pulsion de vie prend le dessus pour effacer les souvenirs douloureux. Une part de soi garde l’espoir qu’il ne s’est rien passé !🫣


Parfois on ne se souvient pas, ou peu, ou pas précisément. Le déni des proches rajoute de la confusion : une partie de soi sait et cherche à nommer, l’autre souhaite oublier pour tenir et vivre.


Et de nombreux traumas sont indicibles. Trop violents. Trop indécents. Trop choquants.


INIMAGINABLES.


Les abus et les violences bien-sûr et tout autres évènements qui portent atteinte à l’intégrité de l’être, quel que soit son âge.


Pourtant dans le quotidien, de nombreux signes s’immiscent :

Souvenirs, flashbacks, sommeil perturbé, cauchemars

Réactions émotionnelles incontrôlées dans certaines situations

Addictions (alcool, drogue, sport, etc.)

Compulsions alimentaires (anorexie, boulimie)

TOC (Troubles obsessionnels compulsifs)

Évitements de certains lieux, personnes ou situations

Auto-sabotage, culpabilité

Sexualité perturbée

Crises d’angoisse et de panique


Sortir du déni est un chemin courageux, progressif et difficile pour faire face à son histoire et recoller les morceaux de soi blessés, souillés, oubliés.


Est-ce que la kinésiologie peut aider à sortir de l’amnésie traumatique : OUI. Et pas systématiquement, c’est le corps qui décide, quand il est prêt à donner des informations.😉


Est-ce que la kinésiologie peut aider à se reconstruire : OUI en allant regarder les parts blessées et autoriser à mettre en place de nouvelles réactions. RECONSTRUCTION !

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